Félix Servais avait été heureux de retrouver sa maison, mais les scènes de violences et la vue du feu l’obligeant à fuir.
Par les prairies Goorissen, il parvient à la voie ferrée gardée militairement. Des balles sifflent. Touché à la cuisse, il se traîne chez Herzet près de chez Detilleux. Plus tard, faute de soins adéquats, il succombera à l’hôpital.
(source : H. Rahier)